Paupières asservies au bleu incohérent du large,
Ailes paralysées au centre du cyclone,
Vous ne vous lèverez désormais que pour un regard
Qui poignardera mes amours millénaires,
Et ce sera comme au premier jour de ma vie.
Les oiseaux de l’hiver jouiront seuls de l’embellie,
Et je passerai pour dormir sous l’affaissement
De la voile inutile. . . Mais sera-t-il un astre
Pour sombrer à ma place, et pacifier la mer ?
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